La vieille ville de Jérusalem est une merveille.
Mélange des peuples, des religions, ruelles grouillant de ceux qui y vivent réellement, chants des pèlerins, air hébété des illuminés, il y a ceux qui prient à genoux, ceux qui prient en silence, ceux qui chantent, dansent, ceux qui embrassent les reliques et cailloux et touchent à tout comme pour s'en imprégner un peu plus. Dans la même matinée nous sommes passés du quartier musulman, au mur des lamentations puis à la Basilique du Saint Sépulchre. Le détecteur de métaux est agréé pour Shabat, les garçons ont adopté la kipa pour aller se lamenter (et comme l'a remarqué Rachel qui n'est pas ma fille pour rien, vu la taille de l'espace pour les hommes et celle de l'espace pour les femmes, les hommes se lamentent beaucoup beaucoup plus), puis comme l'esplanade des mosquées est fermée le vendredi, nous avons fait des prières sur les lieux de la passion du Christ, toujours séduits par l'atmosphère de ces églises.
Et quand on se promène ainsi dans la ville sainte, lieu de convergence des trois religions monothéistes, lorsqu'on prend le temps de savourer la diversité des pèlerins, des habitants et des badauds, on ne peut s'empêcher de penser que malgré les horreurs et les affrontements, la religion pousse aussi les hommes vers le haut et leur fait accomplir de grandes choses.
Il nous faudra bien une semaine pour savourer pleinement cette atmosphère et ces lieux, et pour profiter de ceux que notre voyage nous fait rencontrer et qui nous aident à mieux découvrir leur pays et leurs traditions. Shabat Shalom !
Mélange des peuples, des religions, ruelles grouillant de ceux qui y vivent réellement, chants des pèlerins, air hébété des illuminés, il y a ceux qui prient à genoux, ceux qui prient en silence, ceux qui chantent, dansent, ceux qui embrassent les reliques et cailloux et touchent à tout comme pour s'en imprégner un peu plus. Dans la même matinée nous sommes passés du quartier musulman, au mur des lamentations puis à la Basilique du Saint Sépulchre. Le détecteur de métaux est agréé pour Shabat, les garçons ont adopté la kipa pour aller se lamenter (et comme l'a remarqué Rachel qui n'est pas ma fille pour rien, vu la taille de l'espace pour les hommes et celle de l'espace pour les femmes, les hommes se lamentent beaucoup beaucoup plus), puis comme l'esplanade des mosquées est fermée le vendredi, nous avons fait des prières sur les lieux de la passion du Christ, toujours séduits par l'atmosphère de ces églises.
Et quand on se promène ainsi dans la ville sainte, lieu de convergence des trois religions monothéistes, lorsqu'on prend le temps de savourer la diversité des pèlerins, des habitants et des badauds, on ne peut s'empêcher de penser que malgré les horreurs et les affrontements, la religion pousse aussi les hommes vers le haut et leur fait accomplir de grandes choses.
Il nous faudra bien une semaine pour savourer pleinement cette atmosphère et ces lieux, et pour profiter de ceux que notre voyage nous fait rencontrer et qui nous aident à mieux découvrir leur pays et leurs traditions. Shabat Shalom !
Vous nous faites rêver !
RépondreSupprimerEt le compte à rebours avance...
C'est incroyable ce que vous écrivez au sujet des différents syndromes, ça donne envie de les tester en se rendant sur place.
SupprimerEst-ce que c'est la religion qui provoque cela ou bien l'imaginaire crée par notre éducation et pour certains l'implication religieuse ?
Alors question ? Peut-on avoir un esprit critique objectif lorsqu'on est dans ce pays, parvient t'on à évacuer nos préjugés et à garder un exprit d'analyse ? Ca frôle (presque)la frénésie incontrôlable non ?