Toujours dans le souci de varier les plaisirs au cours de notre
voyage, nous avons décidé de parcourir les derniers 400 km séparant
Mashad de Teheran sur un camion. Enfin, soyons précis, le Toqcar a
été porté par un camion, Xtophe l'accompagnant a expérimenté la
vie de camionneur iranien, et les enfants et moi même avons testé le
taxi-minibus. Et donc la conduite iranienne. Il y a eu quelques
épisodes intéressants comme celui où nos assureurs ont construit une
rampe en terre dans un terrain vague pour faire monter le camping-car
sur le camion. Celui du déchargement aussi, à minuit, sous la grêle,
le camping-car devant d'abord passer sur un plateau trop petit puis
penché à 60 degrés (si maman, je suis sûre, je révise les angles
en cm2), Xtophe au volant, avant de se poser par je ne sais quel
miracle (à ce moment-là j'ai fermé les yeux) sur le sol teheranais.
Les enfants trouvent tout cela très excitant.
Pour nous, j'ai peur que ça ne devienne routinier.
En tous cas nous testons notre assistance internationale et ça
fonctionne très bien. Et il faut reconnaitre qu'être en panne en
plein milieu de Téhéran, à deux pas du bazar, ce n'est pas pour nous
déplaire. Nous sommes heureux d'être en Iran, retrouvons les saveurs
les paysages et les gens que nous avions tant appréciés il y a 4 ans.
D'accord Gaspard trouve très injuste que seules les femmes puissent
porter le voile, il trouve que ça me donne un air de fantôme
absolument irrésistible. Il est déçu aussi que nous ne soyons pas
au bord de la mer parce qu'il fait si beau et chaud (10 degrés
messieurs-dames!) qu'il se serait bien baigné.
En tous cas nous avons enlevé nos collants, cette seconde peau que
nous portons depuis 4 mois, et parfois la gente masculine de la
famille sort sans couvre-chef, et quel plaisir (enfin j'imagine
puisqu'en tant que chef, je ne connais pas ce plaisir-là).
Quelques bons génies se sont penchés sur notre moteur, mais rien ne
se passera dans les 2 jours puisque demain l'Iran célèbre une grande
fête (40 jours après la mort de l'Imam Hussein). Nous espérons faire
de nouveau ressusciter notre Toqcar au cours des semaines à venir.
Dans le cas contraire, nous aviserons et vous aviserons mais ne vous
inquiétez pas, nous avons plus d'un tour dans notre coffre.
voyage, nous avons décidé de parcourir les derniers 400 km séparant
Mashad de Teheran sur un camion. Enfin, soyons précis, le Toqcar a
été porté par un camion, Xtophe l'accompagnant a expérimenté la
vie de camionneur iranien, et les enfants et moi même avons testé le
taxi-minibus. Et donc la conduite iranienne. Il y a eu quelques
épisodes intéressants comme celui où nos assureurs ont construit une
rampe en terre dans un terrain vague pour faire monter le camping-car
sur le camion. Celui du déchargement aussi, à minuit, sous la grêle,
le camping-car devant d'abord passer sur un plateau trop petit puis
penché à 60 degrés (si maman, je suis sûre, je révise les angles
en cm2), Xtophe au volant, avant de se poser par je ne sais quel
miracle (à ce moment-là j'ai fermé les yeux) sur le sol teheranais.
Les enfants trouvent tout cela très excitant.
Pour nous, j'ai peur que ça ne devienne routinier.
En tous cas nous testons notre assistance internationale et ça
fonctionne très bien. Et il faut reconnaitre qu'être en panne en
plein milieu de Téhéran, à deux pas du bazar, ce n'est pas pour nous
déplaire. Nous sommes heureux d'être en Iran, retrouvons les saveurs
les paysages et les gens que nous avions tant appréciés il y a 4 ans.
D'accord Gaspard trouve très injuste que seules les femmes puissent
porter le voile, il trouve que ça me donne un air de fantôme
absolument irrésistible. Il est déçu aussi que nous ne soyons pas
au bord de la mer parce qu'il fait si beau et chaud (10 degrés
messieurs-dames!) qu'il se serait bien baigné.
En tous cas nous avons enlevé nos collants, cette seconde peau que
nous portons depuis 4 mois, et parfois la gente masculine de la
famille sort sans couvre-chef, et quel plaisir (enfin j'imagine
puisqu'en tant que chef, je ne connais pas ce plaisir-là).
Quelques bons génies se sont penchés sur notre moteur, mais rien ne
se passera dans les 2 jours puisque demain l'Iran célèbre une grande
fête (40 jours après la mort de l'Imam Hussein). Nous espérons faire
de nouveau ressusciter notre Toqcar au cours des semaines à venir.
Dans le cas contraire, nous aviserons et vous aviserons mais ne vous
inquiétez pas, nous avons plus d'un tour dans notre coffre.
c'est bien de te lire à nouveau TT ! Malgré les échanges téléphoniques presque quotidien actuellement, c'est bon de retrouver ta "patte" littéraire. Vivement de nouvelles photos. Bises à tous
RépondreSupprimerBon eh bien, je constate que tout se passe très bien !!! ( bon courage quand même, et continuez à garder le moral)
RépondreSupprimermon dieu quelle aventure!!!
RépondreSupprimerbisous anne ce
oh,you are so unlucky..
RépondreSupprimerPas de news depuis bientôt 10 jours. J'espère que tout va bien. Gros bisous
RépondreSupprimerHello tout le monde, les toques vont bien mais ont peu d'accès internet en Iran et bcp de sites censurés. Ils attendent une pièce pour reparer le Toqcar et ont bon espoir. ce weekend ils ont bien profite de la fête nationale. Le moral est tjrs bon !
RépondreSupprimerSimon.
Que d'aventures et de rebondissements.
RépondreSupprimerUne sacrée épopée.
Bises
Il arrive un moment dans la vie où on apprend qu'un injecteur peut jouer un rôle extrêmement important, qu'il peut même changer six mois de la vie d'une famille!
RépondreSupprimerQuelqu'un peut-il me dessiner un injecteur?
...
et pendant ce temps on surveille le compte à rebours du délai des visas!
Cool! il parait qu'ils peuvent se prolonger.
bon courage à vous alors, j'espère que c'est maintenant réparer
RépondreSupprimerles Iraniens sont des gens charmants
bonne continuation ** dgidgi
bon courage a vous les toqués ! gardez le morale parce que c'est une superbe aventure . a très vite
RépondreSupprimerune ancienne scoute et musicienne avec Ulysse (ines)
Plus de son, plus de lumière. Mais j'espère que tout va bien à Téhéran.
RépondreSupprimerRacontez-nous et faites mentir les préjugés qu'on a tous plus ou moins de mal à enfouir.
Bises à tous au passage